Le vocabulaire du copywriting expliqué

copuywriting et vocabulaire expliqué

Copywriting, ouvertures, taux de conversion, taux d’ouverture, taux de clic, accroches, metteurs de pression, emails de promotion, etc…

Si vous n’êtes pas à l’aise avec les termes ci-dessus, c’est que vous avez peut-être besoin d’améliorer votre connaissance du vocabulaire du copywriting (conception-rédaction, rédaction commerciale et publicitaire).

L’intérêt pour vous de le faire, c’est de comprendre le langage utilisé par les copywriters (rédacteurs publicitaires et commerciaux, concepteurs-rédacteurs). C’est de développer votre compréhension du copywriting.

De cette façon, vous pourrez cerner plus facilement tous les contenus auxquels vous avez accès, peu importe qu’ils se trouvent sur un blog/site, YouTube, ou dans un livre de copywriting. En les appliquant, vous accroîtrez et accélérerez alors vos résultats.

Mais avant d’aller plus loin, sachez que les termes expliqués ci-dessous n’ont pas été classés dans l’ordre alphabétique. En revanche, ils ont été, plus ou moins, présentés en fonction de leur ordre (possible) d’arrivée dans un texte de vente.
Bonne découverte !

Copywriting : les termes basiques expliqués

Certains termes constituent le b.a.-ba du copywriting. Il vous faut donc les connaître. Les voici : 

Copywriting : le copywriting, c’est tout simplement l’art et la science d’utiliser du texte pour obtenir d’une cible qu’elle fasse ce que l’on désire. Pour faire encore plus simple, c’est de la vente sur papier.

Donc, vous faites du copywriting à chaque fois que vous écrivez quelque chose dans le but de convaincre quelqu’un.

Certains préfèrent désigner le copywriting par des expressions francophones telles que ʺla conception-rédactionʺ ou encore ʺla rédaction publicitaire et commercialeʺ.

Pour en apprendre davantage sur ce que cette discipline est, lisez donc copywriting : définition et champs d’application.

 

Copywriter : encore appelé rédacteur publicitaire et commercial, concepteur-rédacteur, le copywriter, c’est tout simplement celui qui écrit un texte dans le but de pousser quelqu’un à faire ce qu’il désire.

S’il vous est déjà arrivé de faire cela, vous pouvez vous considérer comme un rédacteur publicitaire et commercial.

En revanche, si vous voulez passer pro, suivez donc les conseils de cet article : 7 habitudes pour devenir copywriter pro même si vous débutez.

Maîtres copywriters : les maîtres copywriters, ce sont tout simplement les copywriters professionnels dont les textes de vente ont rapporté plusieurs millions.

Quelques exemples de maîtres copywriters : Christian Godefroy, John Caples, Eugène Schwartz, Robert Collier, Gary Halbert, Gary Bencivenga, Victor Schwab, David Ogilvy, Claude Hopkins, Joe Sugarman, John Carlton.

Lisez donc l’histoire de la plupart d’entre eux. Vous verrez qu’il n’y a nul besoin de venir d’une autre planète pour exceller en copywriting. À titre d’exemples, voici quelques-unes desdites histoires:

  1. John Caples : quand un marin devient maître copywriter
  2. Maître copywriter d’exception, Claude Hopkins a pourtant été agent d’entretien
  3. Copywriter après avoir failli porter la soutane : le parcours de Robert Collier
  4. Copywriter après avoir été garçon de course : le parcours de Maxwell Sackheim
  5. Copywriter après avoir été cuisinier : l’histoire de David Ogilvy

Textes de vente : en copywriting, un texte de vente, c’est tout simplement un texte conçu dans le but de pousser votre cible à entreprendre l’action que vous désirez.

Les textes de vente peuvent prendre et prennent divers formats : pages de vente, vidéos de vente, mails de promotion, etc.

Si vous voulez en découvrir d’autres, lisez donc l’article copywriting : définition et champs d’application. Sachez que même un simple SMS peut devenir un texte de vente.

Mails de promotion : un mail de promotion, c’est un texte de vente sous format email que vous envoyez à vos contacts ou listes d’abonnés dans le but de les pousser à :

  • remplir un bon de commande ;
  • remplir un formulaire de contact ou une page de capture d’adresses email (squeeze page),
  • lire une page de vente ;
  • suivre une vidéo de vente ;
  • etc…

Bref, ce sont des mails dont l’objectif est de pousser votre cible à entreprendre l’action que vous désirez.

Maintenant, notez ceci : en général, les mails de promotion ne vendent pas directement le produit. Ils vous dirigent plutôt vers une page de vente ou une vidéo de vente qui, elle, vend le produit en question.

Mais notez qu’il y a des cas où les emails de promotion dirigent directement la cible vers un bon de commande.

En voici un exemple utilisé pour faire une promotion vraiment exceptionnelle sur le pack des 5 guides :

Objet du mail : [Ventes flash] 63% de remise, mais l’heure tourne !

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C’est aujourd’hui le jour J [Prénom de l’abonné], mais il ne reste plus que quelques heures !

 

L’Offre très Spéciale pour obtenir le « Pack des 5 guides pour vendre plus » à 135 € au lieu de 365 € disparaîtra définitivement ce soir à minuit !

Peut-être même avant puisque cette Offre n’est ouverte qu’aux 100 premiers, donc elle peut disparaître dans quelques heures :

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Si vous n’en aviez pas encore pris connaissance, voici ce que le copywriter Eduardo Beretta dit au sujet de ces guides :

 « Étant moi-même copywriter, je recherchais des techniques propres au copywriting afin d’offrir à mes clients les pages de vente les plus performantes possibles.

C’est alors que j’ai découvert Copywriting-facile.com. J’ai analysé les pages de vente des guides proposés et j’ai remarqué qu’elles étaient de très bonne qualité.

J’ai donc investi dans les guides et je n’ai pas regretté mon investissement. Les guides sont faciles à lire, très pertinents, pratiques et de qualité professionnelle.

Pour l’anecdote, j’avais auparavant commandé un gros programme sur le copywriting.

Ce gros programme était vendu à 497€. Le contenu de ce programme ne valait pas, à mon sens, la somme de 497€. J’ai donc demandé un remboursement.

Résultat des courses : Les guides d’Ulrich et David sont plus pertinents et enrichissants que cet autre programme. Et ils sont en plus beaucoup moins chers.

Le contenu des guides est très dense et ils font clairement partie des meilleurs livres que j’ai eus l’occasion de lire sur le copywriting. Vous pouvez y aller les yeux fermés. »

Eduardo Beretta

Magicien des mots

Fondateur du site « Copywriting Profitable »

 

Pour vous faire une idée du contenu ainsi que du prix normal et actuel de chaque guide, voici la page de présentation de chacun d’entre eux :

  1. Le guide, étape par étape, pour écrire une page de vente qui vous rapporte plusieurs milliers d’euros – Même si vous êtes un parfait débutant en copywriting 
  2. Les 19 secrets qui ont pratiquement doublé les commandes d’un produit de Mikaël Messa et Stéphane Munnier coûtant plus de 200 euros 
  3. Écrire une histoire qui vend vos produits et services- Les 20 secrets de Martin Conroy enfin dévoilés au grand jour 
  4. Comment écrire une histoire qui vend en utilisant les secrets de Martin Conroy
  5. 17 astuces de maîtres copywriters pour écrire des textes de vente plus persuasifs et déclencher plus de commandes de vos produits.


C’est maintenant qu’il faut agir, cliquez tout de suite sur le lien ci-dessous pour recevoir l’intégralité de ce Pack :

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À très vite, 

[Nos photos]

Ulrich Affo & David Hamon
www.copywriting-facile.com
Apprenez à rédiger des textes accrocheurs et vendeurs 

P.S. : Si vous désirez utiliser un moyen de paiement autre qu’une CB ou PayPal, contactez-nous en répondant à ce mail. Nous acceptons, sous certaines conditions, même les transferts par téléphone portable.

P.P.S. : Si vous souhaitez commander un ou deux guides plutôt que tout le pack, c’est possible. Visitez simplement leur lien de présentation ci-dessus.

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Voilà donc un exemple d’email de promotion. Passons au prochain terme employé dans le domaine du copywriting (rédaction publicitaire et commerciale, conception-rédaction).

Pages de vente/lettres de vente : une page de vente, c’est tout simplement un texte de vente qui pend le format d’une page web plus ou moins longue. Grosso modo, cette page web présente un produit, les avantages à l’acheter, et pousse la cible à l’acheter.

Voici un exemple de page de vente au cas où vous n’en auriez jamais vu ; ce qui est, bien sûr, peu probable.

Quant à la lettre de vente, on peut dire que c’est une page de vente qu’on n’a pas encore mise en ligne. D’ailleurs, notez que certains qualifient la page de vente de lettre de vente et vice-versa. L’important, c’est que l’on se comprenne.

Mais notez qu’une lettre de vente, c’est également l’un de ces nombreux textes de vente publiés dans des journaux-papier par des copywriters. Certaines de ces lettres de vente ont rapporté plusieurs millions d’euros faisant ainsi, de leurs auteurs, des maîtres copywriters.

À titre d’exemple, en voici une écrite par le maître copywriter Joe Sugarman :

Si vous désirez l’avoir sous format PDF, il vous suffit de nous écrire à [email protected]

Vidéos de vente : pour faire simple, la vidéo de vente, c’est tout simplement une page de vente mise sous un format vidéo.

Ici, on travaille à être plus direct, à écrire le texte de cette vidéo de la manière dont on parle. On utilise également le son et des images.

Et si une vidéo de vente va être trop longue pour maintenir l’attention et l’intérêt de la cible, on la fractionne en plusieurs. C’est en réalité ce que font les lancements orchestrés.

Produits : contrairement à ce que beaucoup pensent, le produit, ce n’est pas qu’un bien, qu’il soit tangible ou numérique. Le produit, c’est également la prestation de service. Donc, un produit, ça peut être un bien, ça peut être une prestation de service.

Mais le produit, c’est bien plus que ça au fond. Par exemple, lors des élections présidentielles américaines de 2008, Barack Obama était le ʺproduitʺ que 52,9% des Américains voulaient ʺconsommerʺ.

Bon, mais dans tous les cas, il vaut mieux, dans vos discours commerciaux, parler de « Produits et services ». Si vous parlez simplement de « Produits » alors que vous vendez également des prestations de services, la majorité de vos clients ne penseront pas à faire appel à vos prestations de services. Car pour eux, un produit est différent d’un service.

Caractéristiques du produit : pour faire simple, les caractéristiques d’un produit, ce sont ses divers composantes, propriétés et fonctionnalités.

Quand vous dites : ʺCette Lamborghini a 700 chevaux-vapeur pour 68 cv fiscauxʺ, vous n’énoncez pas un avantage, mais plutôt une caractéristique, une composante de la Lamborghini.

Avantages du produit : les avantages du produit, ce sont ce que ses caractéristiques lui permettent de faire.

Par exemple, votre guide sur le trafic internet a pour particularité d’être numérique ?

Bien ! L’avantage derrière, c’est que votre client peut commencer à le lire tout de suite après l’avoir acheté. Puisqu’il est immédiatement téléchargeable !

S’il avait été tangible, il faudrait que votre client attende plusieurs jours, voire plusieurs semaines pour le recevoir par la poste.

Bénéfices : il n’est pas rare de constater que l’on utilise le mot « Bénéfices » comme un synonyme du mot « avantages ».

Et au fond, ce n’est pas faux ! Si vous en doutez, recherchez donc les synonymes du mot « Avantage », puis ceux du mot « Bénéfice »

Mais si l’on accepte de se placer davantage du point de vue du client, on pourrait dire que le bénéfice, ce n’est plus seulement ce que votre produit fait. Mais c’est plutôt ce que votre produit fait pour le client. C’est ce en quoi ça change sa vie.

Le bénéfice, c’est l’avantage derrière l’avantage.

Reprenons l’exemple du guide sur le trafic internet. Un autre de ses avantages, c’est probablement de vous aider à augmenter votre trafic ciblé, et donc vos ventes. L’avantage derrière cet avantage, ça peut être une vie financière et matérielle meilleure pour votre client, son entreprise sauvée de la faillite, etc.

En général, pour décrire convenablement les bénéfices qu’apporte votre produit à votre cible, il faut connaître soigneusement cette dernière. Lisez donc l’article Copywriting : 6 clés pour construire une offre irrésistible.

Swipe  File : en copywriting, un Swipe File, c’est tout simplement un dossier qui contient plusieurs textes de vente performants de maîtres copywriters dont on va s’inspirer pour écrire ses propres textes de vente. Autrement dit, c’est un dossier d’exemples qui se sont avérés performants. Voilà pourquoi d’autres le qualifient de bible d’exemples.

Ainsi donc, on peut constituer un Swipe File des mails les plus performants. On peut constituer un Swipe File des pages de vente les plus performantes. On peut constituer un Swipe File des scripts téléphoniques les plus performants. On peut constituer un Swipe File des spots télé les plus performants. Etc. On peut même constituer un Swipe File qui inclut un peu de tout cela. Ce n’est pas interdit. 🙂

Un Swipe File peut être numérique ou tangible. La plupart du temps, il est numérique. Mais vous pouvez le rendre tangible si vous avez une préférence pour les supports que l’on peut toucher.

Par exemple, si vous avez constitué un Swipe File des courriers commerciaux papier les plus performants, il vous suffit d’imprimer le dossier et de le relier pour le consulter sur un support autre que numérique.

Un autre exemple ? Si vous avez constitué un Swipe File des spots radio les plus performants, il vous suffit de les imprimer sur CD ou DVD pour les transporter partout avec vous si tel est votre souhait.

Un Swipe File se constitue lorsqu’on a déjà un très bon niveau en copywriting et que l’on sait où trouver les textes des maîtres copywriters, et comment les distinguer des innombrables autres. Sinon, on court le risque d’en constituer un qui ne soit rempli que de textes de vente aux résultats médiocres.

Le plus simple, c’est souvent d’acheter des Swipe Files chez des copywriters pro ou maîtres copywriters. Ils ont déjà fait l’effort de les constituer pour vous, y passant des centaines et des centaines d’heures de recherche, de vérification, de collecte, et de classement afin de rendre le contenu exploitable.

Copywriting : les outils expliqués

Les outils de copywriting, ce sont les éléments dont on se sert pour construire des textes de vente. Il s’agit donc d’éléments tels que les accroches, les titres de paragraphes, les ouvertures, les metteurs de pression, etc…

Les voici :

Accroche : en rédaction publicitaire et commerciale, l’accroche, c’est tout simplement le titre de votre texte de vente, quel que soit le format dudit texte. Mais on peut se servir (et on se sert) des accroches pour des tas d’autres choses. Exemple : les titres des articles de blogs.

L’objectif d’une accroche n’est pas de vendre directement le produit, mais de capter l’attention de la cible de façon à la pousser à lire ou écouter le texte qui suit ladite accroche.

L’accroche est tellement importante que les maîtres copywriters y passent beaucoup de temps. Pourquoi ? Parce que comme l’a dit le maître copywriter David Ogilvy,

« En moyenne, les gens lisent 5 fois plus le titre que le corps de votre message.

Choisir le titre, c’est gaspiller ou utiliser judicieusement 80 cents de votre dollar »

Si votre cible lit ou écoute une accroche bien faite, il est très probable qu’elle continue à s’intéresser au reste de votre texte de vente jusqu’au moment où quelque chose l’en décrochera ou jusqu’au moment où elle passera commande.  Votre tâche à vous sera de la garder sur ce texte de vente jusqu’au moment où elle passera commande. Ce que vous direz, après votre accroche, importe donc beaucoup.

Mais dans tous les cas, si votre accroche n’attire pas l’attention de votre cible, elle fermera votre page de vente ou vidéo de vente, puis passera tout simplement à autre chose. Pourquoi ?

Parce que les gens lisent ou écoutent l’accroche pour déterminer s’il y a un quelconque intérêt pour eux à poursuivre leur lecture.

En lisant votre accroche, votre cible se demande toujours « Qu’est-ce qu’il y a là-dedans pour moi ? ». Si votre accroche ne la lui dit pas ou si cela ne l’intéresse pas, elle s’en va sans acheter.

Dans de nombreux cas où les textes de vente ne rapportaient que des kopecks, il a suffi qu’on en change l’accroche pour en faire des textes de vente à succès.

Un exemple ?

ʺL’accroche  « Faites-vous des erreurs en anglais ? » ramenait très peu de ventes. Il a suffi que le maître copywriter Maxwell Sackheim la transforme en « Faites-vous ces erreurs en anglais ? » pour vendre beaucoup, et pendant 40 ans, des cours d’anglaisʺ

Si vous voulez découvrir quelques exemples d’accroches publicitaires bien faites, lisez donc l’article 27 accroches hypnotiques. Et si vous voulez en avoir une collection importante, téléchargez La Boîte à Outils du Copywriter

Sous-accroches : les sous-accroches ne sont rien d’autre que des accroches supplémentaires rajoutées au texte de vente dans le but d’attirer davantage et de maintenir l’attention de la cible.

On n’en use pas toujours, mais en voici un exemple conçu par le maître copywriter Gary Halbert pour vendre le produit de beauté de Tova Borgnine :

La première accroche, c’est : « Qui d’autre veut paraître plus jeune sans aller voir un médecin ? »

La deuxième accroche : « Une étonnante nouvelle formule de Beverly Hills vous fait paraître jusqu’à 10 fois plus jeune sans les cicatrices et le coût d’une chirurgie esthétique ».

Maintenant, si vous désirez faire en sorte que votre accroche attire davantage l’attention, lisez l’article 11 techniques de copywriting qui décuplent la visibilité de votre accroche publicitaire.

Ouvertures/Débuts de texte de vente : comme son nom l’indique, l’ouverture ʺouvreʺ votre texte de vente. Sur ce dernier, l’ouverture est souvent placée juste après l’accroche et/ou les sous-accroches.

Certains maîtres copywriters en font le chapeau de leur texte de vente lorsque celui-ci est écrit sous forme d’article de journal. D’autres en font leur premier, deuxième, et troisième paragraphe.

Pour vous aider à mieux vous rendre compte de ce qu’est une ouverture, nous allons l’encercler (en bleu) pour vous dans ce texte de vente conçu par le maître copywriter Eugene Schwartz :

Les ouvertures ne sont pas systématiquement utilisées. Mais elles ont plusieurs fonctions. L’une d’elles par exemple, c’est d’empêcher votre prospect de quitter votre page de vente/vidéo de vente parce qu’il ne croit pas en la promesse que fait votre accroche.

Voici un exemple d’ouverture tiré de La Boîte à Outils du Copywriter :

« Cher ami, ces nouvelles, concernant votre santé, pourraient être les plus surprenantes que vous ayez jamais lues – et nous allons vous laisser vous en prouver à vous-même le bien-fondé sans risquer un seul penny. C’est si différent. Si puissant. Si provocateur et si controversé » Auteur : Maître copywriter Eugène Schwartz 

Annonciateurs de prix : il s’agit d’outils de copywriting utilisés pour présenter les prix de façon à les faire accepter par les clients intéressés par votre produit (bien ou service).

En voici un exemple tiré de  La Boîte à Outils du Copywriter :

« Si vous constatez que (nom du produit) fait tout ce que je vous promets (et vous en serez seul juge) et bien plus encore, combien seriez-vous prêt à investir pour l’avoir ? (le chiffre le plus haut) euros ? (Un chiffre plus bas) euros ? (le chiffre le plus bas) euros ? 

C’est ce que coûtent d’habitude les (types de produit) ordinaires qui ne vous permettent que de… . Bien évidemment, si ce (nom du produit) fait seulement la moitié de ce que je vous promets, cela vaut des milliers d’euros – et même plus ! 

Eh bien, si vous décidez de commander ce (nom du produit) aujourd’hui même, vous n’aurez pas à m’envoyer (le chiffre le plus haut) euros, ni même (un chiffre plus bas) euros, mais seulement (chiffre) euros »

Vous pouvez d’ores et déjà utiliser ces 3 paragraphes pour présenter votre prix. Nous vous en faisons cadeau. Et si vous voulez découvrir un autre annonciateur de prix, avec ses secrets décortiqués, lisez donc Copywriting : une 2e stratégie de maître pour faire passer vos prix, même très élevés.

Mais si vous désirez aller plus loin, vous en trouverez de nombreux autres dans la Boîte à Outils du Copywriter.

Connecteurs : Retournons à l’époque où vous étiez sur les bancs. Vous souvenez-vous des connecteurs logiques ?

Vous souvenez-vous des connecteurs logiques tels que « Premièrement, Deuxièmement, Troisièmement », « Donc », « Partant », « Car », « Ou », « Afin que », « Malgré », « Mais encore », « De surcroît », etc ?

Vous commencez par vous en souvenir maintenant : ces connecteurs logiques ont pour but d’établir une liaison entre deux énoncés de façon à vous amener à continuer votre lecture.

Eh bien, il en va de même en copywriting : vous utilisez les connecteurs du copywriting pour pousser votre cible à continuer la lecture de votre texte de vente, à ne pas en décrocher.

Ces connecteurs, vous les disséminez un peu partout dans votre texte de vente.

Si vous voulez des exemples de connecteurs du copywriting, lisez donc l’article 17 connecteurs pour donner envie de lire vos textes de vente jusqu’au bout.

Et si vous désirez aller beaucoup plus loin, découvrez les 124 connecteurs dévoilés par La Boîte à Outils du Copywriter

Garanties de satisfaction : les garanties de satisfaction, ce sont tout simplement les garanties « Satisfait ou remboursé » que vous retrouvez sur les textes de vente.

Elles peuvent prendre plusieurs formes, leur but final étant de lever la crainte du client quant au fait de récupérer son argent, de se faire rembourser en cas de non-satisfaction.

Les garanties de satisfaction n’ont pas la même force de persuasion sur le client. Certaines font un meilleur travail que d’autres, déclenchant plus de commandes du produit.

Pour vous en convaincre, lisez donc l’article Quelle garantie de remboursement peut déclencher plus de ventes de vos produits ou services ?

Et si vous doutez de l’importance des garanties, lisez l’article Est-il nécessaire d’offrir une garantie de remboursement pour que votre page de vente génère des ventes ?

Vous trouverez des garanties de satisfaction basiques, et des garanties de satisfaction de niveau avancé dans La Boîte à Outils du Copywriter

Vous y trouverez par exemple celle utilisée par le maître copywriter Bud Weckesser pour faire monter en flèche les ventes d’un kit de fabrication de bière chez soi.

Metteurs de pression/appels à l’action : certains les qualifient d’appels à l’action. Personnellement, j’aime les appeler « Metteurs de pression ».

Ce sont tout simplement les phrases et paragraphes que l’on utilise pour pousser le client à commander immédiatement (ou dans les plus brefs délais) le produit.

De nombreuses personnes continuent de penser qu’il ne faut pas pousser son client potentiel à l’action, qu’il va acheter s’il est intéressé.

Lisez donc l’article 4 bonnes raisons de pousser votre prospect à l’action.

Des appels à l’action, metteurs de pression, vous en trouverez plein dans La Boîte à Outils du Copywriter

Boutons de commande : les boutons de commande, ce sont ces petits bouts de phrase qui mènent vers le bon de commande dès que votre cible clique là-dessus.

Parfois, ces petits bouts de phrase sont sous forme graphique. Exemple :

D’autres fois, il s’agit de simples textes sur lesquels il suffit de cliquer :

Vous trouverez de nombreux boutons de commande sous format texte dans La Boîte à Outils du Copywriter

Histoires hypnotiques : les histoires hypnotiques, ce sont des histoires utilisées dans le but de vendre. Elles sont hypnotiques car votre cible n’arrive pas à en décrocher, et finit, dans la majorité des cas, par commander votre produit.

Si vous voulez apprendre à écrire des histoires hypnotiques, lisez Écrire une histoire qui vend vos produits et services- Les 20 secrets de Martin Conroy enfin dévoilés au grand jour.

Témoignages-clients : bon, les témoignages-clients, vous savez probablement ce que c’est. Ce sont tout simplement les témoignages de personnes qui ont utilisé vos produits et en sont satisfaites.

Mais ce sur quoi il faudrait attirer votre attention, c’est qu’un témoignage-client qui vous ramène des ventes, c’est un témoignage-client qui parle des résultats obtenus par votre client en utilisant votre produit.

Les témoignages-clients du type « Je vous apprécie bien. Vous êtes sympa et serviable » améliorent la perception que vos clients potentiels ont de vous.

Mais les meilleurs, ce sont ceux qui décrivent la vie de vos clients avant d’utiliser votre produit, et leur vie après avoir utilisé votre produit.

Si vous désirez trouver des modèles performants de témoignages-clients à envoyer à vos clients satisfaits pour qu’ils les remplissent, téléchargez donc La Boîte à Outils du Copywriter .

Titres de paragraphe : Dans un texte de vente, le titre de paragraphe n’est rien d’autre que… le titre de paragraphe, un peu comme ceux que vous trouvez dans un article de journal.

Ils ont donc la même fonction principale que ceux d’un article de journal : pousser la cible à continuer sa lecture, lui donner envie de le faire.

En voici un exemple :

Dans cet exemple, « Voulez-vous être plus persuasif ? » est un titre de paragraphe.

Maintenant, voici quelque chose d’important à savoir : vos titres de paragraphes ne sont rien d’autre que d’autres accroches publicitaires disséminées dans votre texte de vente.

Si vous les soignez autant que l’accroche mise au tout début de votre texte de vente, vous accroîtrez la probabilité de déclencher plus de commandes de vos produits. Car votre cible lira ou écoutera davantage votre texte de vente ; ce qui augmentera davantage son envie de passer commande si vous avez bien structuré les choses.

La Boîte à Outils du Copywriter  vous dévoile plus de 100 titres de paragraphes.

Tests : les tests, ce sont tout simplement… des tests. Et en copywriting, on fait des tests dans le but de trouver un gagnant et d’accroître par conséquent les ventes.

On peut tester deux ou plusieurs accroches, deux ou plusieurs garanties de satisfaction, deux ou plusieurs metteurs de pression, des variations dans l’offre faite au client, deux images, deux différents prix, etc.

En fait, on peut pratiquement tester tous les éléments composant un texte de vente. Et c’est comme cela que l’on finit par monter le texte de vente le plus performant possible.

Comme le maître copywriter David Ogilvy l’a si bien dit :

« Ne cessez jamais de tester. Ainsi, votre publicité ne cessera jamais de s’améliorer ».

Mais comment fait-on un test ? Il y a mille et une manières de procéder. En revanche, le point commun à toutes ces méthodes, le voici : on commence à envoyer les versions à tester à des échantillons de la cible visée. On comptabilise les ventes (ou les résultats : les ventes ne sont pas toujours le but visé. Il peut par exemple s’agir d’avoir plus d’inscrits à sa newsletter, etc) de chaque version. La meilleure, c’est celle qui a le plus vendu. C’est donc elle qu’on envoie à la totalité de la cible visée.

Maintenant, comme j’ai l’habitude de le dire, si l’on veut encaisser beaucoup plus de commandes, il vaut mieux tester deux gagnantes (et retenir la meilleure) plutôt que deux perdantes.

Les gagnantes, ce sont tout simplement les outils de copywriting conçus par les maîtres copywriters et qui ont déjà prouvé leur efficacité à déclencher des millions d’euros de ventes.

S’en servir, c’est éviter de prendre le risque de construire soi-même des outils de copywriting (des accroches par exemple) qui ne marcheront pas.

Où trouver de telles gagnantes ? Dans La Boîte à Outils du Copywriter

Signatures : beaucoup ne le savent pas. Mais les signatures, insérées à la fin des textes de vente, peuvent vous aider à vous imposer davantage comme une autorité dans votre domaine.

En voici un exemple tiré de La Boîte à Outils du Copywriter :

« Par le Webmaster Raymond Steinbacher et l’équipe de recherche de Green Tree Press, Inc ». Auteur : Maître copywriter Bud Weckesser.

Post-Scriptum : beaucoup de vendeurs négligent les post-scriptum. Ils n’en font pas et ratent ainsi l’occasion de persuader davantage un client hésitant.

Vous savez, les post-scriptum sont, en général, lus par votre cible. La raison ?

À l’école, on nous a dit que le Post-Scriptum permet d’évoquer un point important, mais que l’expéditeur a oublié d’aborder dans le corps de sa lettre.

Comme personne ne veut rater ce qui est important, tout le monde jette un coup d’œil au Post-Scriptum. C’est ce que fera votre prospect si votre page de vente en contient un.

Le maître copywriter Robert Collier le savait. Il utilisait donc les Post-Scriptum à son avantage. En voici un exemple tiré de La Boîte à Outils du Copywriter :

Le nouveau modèle de stylo plume à remplissage automatique, que je vous enverrai, aura votre nom gravé là-dessus. Que vous décidiez de garder le « ReadyPackBag » ou non, j’aimerais que vous gardiez le stylo plume comme un cadeau de ma part, totalement gratuit. C’est en retour de la courtoisie que vous m’avez faite en examinant le « ReadyPackBag » et en me donnant votre avis là-dessus »

Copywriting : les termes liés aux chiffres

Un bon copywriter (rédacteur publicitaire et commercial, concepteur-rédacteur), c’est quelqu’un qui prête attention à certains chiffres. Vous allez comprendre pourquoi ci-dessous.

En attendant, découvrez lesdits chiffes :

Taux d’ouverture : en copywriting, le taux d’ouverture correspond au nombre de personnes qui sont allées découvrir ce qu’il y avait derrière votre accroche ou annonce, en comparaison du nombre de personnes à qui vous l’avez envoyé.

Par exemple, le taux d’ouverture d’un mail que vous avez envoyé, c’est le nombre de personnes qui ont cliqué sur l’objet de votre mail et l’ont ouvert, en comparaison du nombre total de personnes à qui vous avez envoyé ledit mail.

Et plus grand est le nombre de personnes qui ouvrent le mail, plus grand sera le nombre de personnes qui, au final, entreprendront l’action que vous attendez d’elles. Ce n’est pas toujours vérifié. Mais c’est souvent le cas.

Taux de clic : en copywriting, le taux de clic, c’est tout simplement le pourcentage de personnes qui ont cliqué sur un lien (que vous leur avez fourni) en comparaison du nombre de personnes à qui vous l’avez envoyé.

Par exemple, les mails envoyés à vos listes d’abonnés contiennent, la plupart du temps, un lien sur lequel ils doivent cliquer pour entreprendre une action que vous désirez : lire un article, acheter un produit, etc.

Certains cliqueront sur ledit lien, d’autres non. Le taux de clic, ce sera le nombre de personnes qui auront cliqué là-dessus, comparé au nombre de personnes à qui vous avez envoyé ce lien.

Si vous avez envoyé le lien à 1000 personnes et avez un taux de clic de 40%, cela signifie que 400 personnes ont cliqué sur votre lien.

Et plus grand est le nombre de personnes qui cliqueront sur un lien, plus grand sera le nombre de personnes qui, au final, entreprendront l’action que vous attendez d’elles. Ce n’est pas toujours vérifié. Mais c’est souvent le cas.

Taux de conversion : en copywriting, le taux de conversion, c’est tout simplement le nombre de personnes qui ont fini par faire l’action que vous désirez, en comparaison du nombre de personnes à qui vous avez demandé d’entreprendre cette action.

Si vous envoyez 1000 personnes vers votre texte de vente et que 1% l’achètent, cela signifie que vous avez un taux de conversion de 1%.

Et plus grand est le nombre de personnes qui entreprendront l’action que vous attendez d’elles, plus nombreuses seront vos ventes au final. Ce n’est pas toujours vérifié. Mais c’est souvent le cas.

Donc, un copywriter pro, c’est quelqu’un qui va travailler sans cesse à augmenter les taux d’ouverture (ceux des mails par exemple), et les taux de clic sur les liens contenus dans ces mails. Parce qu’il sait que s’il parvient à faire cela, il drainera davantage de monde vers son texte de vente (vidéo de vente, page de vente, etc), et en maximisera le taux de conversion.

Il sait aussi que s’il travaille sans cesse à améliorer son texte de vente, il fera davantage de ventes sans avoir besoin de drainer davantage de monde sur ledit texte de vente.

Maintenant, si vous vous demandez où trouver de tels chiffres, votre autorépondeur devrait, tout au moins, être capable de vous fournir les taux d’ouverture et de clic des mails envoyés.

Voilà donc l’essentiel des termes liés au copywriting. Si vous avez des questions, préoccupations ou n’importe quel autre type de commentaires à faire, partagez-les avec nous ci-dessous.

Et si vous désirez bénéficier d’une formation complète et interactive (en vidéo, avec des pistes audio, et la possibilité de poser des questions) sur la façon de rédiger des textes qui vendent vraiment, écrivez-nous à [email protected] pour nous le faire savoir.

Pour finir, s’il y a un mot, un terme lié au copywriting dont vous n’avez pas retrouvé l’explication dans cet article, faites-le nous savoir. Nous vous l’apporterons! Merci. 🙂

Et si vous avez aimé cet article, merci de le partager avec vos proches responsables d’entreprise, auto-entrepreneurs, solo-entrepreneurs, directeurs commerciaux ou commerciaux, copywriters pro et passionnés de copywriting… .

Bref, veuillez le partager avec vos proches qui ont des produits (biens ou prestations de services) numériques ou tangibles à vendre, qu’ils en soient les créateurs ou pas. Ils vous en sauront gré. 🙂

6 réflexions sur “Le vocabulaire du copywriting expliqué”

  1. Juste j’aimerais attirer votre attention au fait que vous avez mit qu’un email de promotion peut servir a capturer des adresses emails, je vous laisse trouver ou est l’illogisme.

    cordialement

    1. Bonjour Ilia,

      Ici Ulrich, copywriter du duo.

      Je vais prendre un exemple pour que ça soit davantage clair: supposons que vous décidiez de vendre des produits en tant qu’affilié. Certains vendeurs vont alors préparer une squeeze page (page de capture de mails) vers laquelle vous allez rediriger vos contacts en leur envoyant un mail de promotion du produit, de l’offre dudit vendeur.

      Cela permet au vendeur de récupérer les coordonnées de vos contacts intéressés, et de les faire entrer dans une séquence dont l’objectif final est de les amener à acheter un produit. C’est alors là que vous recevez, vous, votre commission en tant qu’affilié.

      Si vous êtes abonné à des listes de diffusion depuis longtemps, ça a dû vous arriver au moins une fois de lire un mail où un web-entrepreneur vante les mérites d’un ami à lui ou d’un des produits (gratuit ou pas) dudit ami, et vous envoie ensuite vers une page de capture où vous devez entrer votre adresse mail pour profiter des avantages/bénéfices de ce produit ou de cette offre. C’est de cela que je parle; et ce n’est là qu’un exemple de la façon dont un mail de promotion peut servir à capturer des adresses mail.

      Bien amicalement,
      Ulrich

  2. Salut à tous. J’ai vraiment envie de me perfectionner dans le copywriting par ce qu’en plus des opportunités de vendre ses services ça pourrait aussi m’aider à développer mon e-commerce. Ces articles permettent également à ceux qui n’ont pas encore la somme pour se procurer la boîte à outils de se former en attendant. Merci

    1. Bonjour William,

      Mettre de tels articles à votre disposition, et savoir qu’ils vous inspirent et vous motivent, c’est notre plaisir. :). Merci à vous. Et comme vous le savez déjà, le prix de la Boîte à Outils du Copywriter n’est rien en comparaison de sa réelle valeur, et de tout ce qu’elle peut faire pour vous.

      Par ailleurs, pour en faciliter l’acquisition à ceux qui ont des budgets serrés, nous avons développé le paiement en 12 mois.

      Bien amicalement,
      Ulrich, copywriter du duo

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